CHAOS IS BEAUTIFUL

-Sandor Béliar, Mariella Naldi ?

-Je sais rien de plus

-Vous préférez la Strega nera

-Bien sûr, à quatre-vingt-dix pour cent !

-Oh oui sur tout Paris et trop sérieux

-Qu'est ce que c'est ? Tu...

-Vous devez de l'argent ?

-Embrasse-moi, chérie... avant

-Ça ressemble bien à Mr Thomas

-Allez rejoindre les autres, vous deux

-Et toi, donne-moi ton sac...

-On s'en va

-Aide-moi

-Bien

-Roberto ne lâche pas Narrouz

-C'est ça, lèche lui bien

-Inspecteur Leclerc

-Ah ! Elle n'avait pas de

-Tenter le Diable ?

-Une balle dans l'épaule

-Patron

-Je ne vous suis pas très bien

-Exact

-Alors ?

-Alors comment ?...

-Non, evidemment

-Je m'en occupe

-Pourquoi vous faites ça ?

-Le fric !

-Quoi au juste ?

-Dans une demi-heure

-Vous aussi, puisque je suis là

-Allons-y

-Et devant nous ?

-Tes yeux sont ouverts

-La grande chasse commence

-Paris

-Tout bien considéré

-Quelquefois

-Situation normale, Fireman

-Lionel, mon cher, c'est à toi...

-Ne me touchez pas !

-En avez-vous fini avec nous ?

-C'est à propos

-Vous ne pourrez pas entrer

-Je n'y suis pour rien

-Imbécile

-Pourquoi ?

-J'ai préféré ne rien écrire

-Qu'est ce que vous voulez ?

-J'y suis prêt

-Morphine

-Et ensuite ?

-Excuse-moi, camarade

-Voyez votre Musique !

-C'est vague

-Bien sûr, mon vieux, bien sûr...

-Où nous installons-nous ?

-Inferno, voyage en enfer

-En 1942

-Comment ils étaient ?

-Il se défendra

-Pas armé, pas de papiers

-Il faut dire quoi, Miss Landsford ?

-Déjà ça

-Je n'aime pas les hommes

-Pourquoi avoir tiré ce fils là ?

-Où est-elle ?

-Allons Kopp, pas d'imprudence

-Viens

-De quoi est-il mort ?

-Vous vouliez vraiment me tuer

-Tu ne mourras pas, Bébé Jenk,jamais !

-Il ne nous reste plus qu'à téléphoner

-Le Dr Makleff avait quel âge ?

-Mesdames et messieurs, on passe au vestiaire

-Alors je ramène Paul à la maison. La maison qu'il n'a jamais eue, le vrai foyer auquel il a droit. Je l'aime, Bill. Tu ne mérites pas un coup pareil. Tu mérites mieux, mais...

minus

comme une puce

faisant la pute

à Liliput

pour le compte

d'un comte

de Monaco

qui aime faire le beau

dans sa Ferrari

qui fait rire

tu dis n'importe quoi

je sais, c'est ça qu'est bien

et vint la police psychiatrique

armée de trique

électrique

c'est pratique

pour les Patricks

qui ont la trique

prends un calmant

ça va te détendre

mais où as tu garée la licorne ?

-Ils n'ont peut-être pas eu le temps de venir jusque-là

-N'oubliez pas, Fitch: la prochaine fois que vous irez en justice, nous serons là

-Assez vieux pour avoir du mérite

-Mais... par l'exemple, ma chérie.... Tu permets, Jérôme ?... Regarde...

-Si j'avais dû être jalouse, je l'aurais gardée pour moi

-Qu'est-il arrivé ? Que s'est-il passé ?

-Vous décidez, Julius

-Quelle question

-Les filles ?

-Dis-moi: Oui, Madame

-Exact, mignonne !

-L'aventure, Cattrell, l'aventure...

-Pardon ? Oh, non...

-Je savais

-Un groupuscule

-Qu'est ce qu'il y a ?

-Les hommes blancs

-Possible

-Tu es un obsédé

-Rien

-Que se passe-t-il ?

-Bon

-Nos prisonniers ?

-Il est ce que vous dites

-Je l'ai vu

-Oh oui !

-J'ai voulu rester

-C'est bon !

-OK

-Oh non !

-C'est le même, d'ailleurs

-Moi non plus

-Tu es de Paris ?

-Désolé, ma petite

-Acid ?

-Qu'en ferons nous ?

-A moins?

-Vous savez quoi ?

-Salaud...

-Ma foi

-C'est un parti

-Police

-C'est celle-là

-A Venise

-Alors

-Dommage

-Camions, camions, camions

-Où est il allé la chercher celle-là

-Oui ! Enfin... Je pense que ça va marcher...parce qu'avec ce monde, hein...

-J'enquête sur la disparition de Monika Van Loo. Je ne vous menace pas. Je veux vous protéger

-Essayons toujours

-Encore, chérie, encore... Ça me fait des choses...

-Caresse-moi

-Vous êtes avec lui

-Tu es folle

-Stop ! Le parc est cerné ! Arrêtez ou je tire !

-Laquelle ?

-Des sales tronches ! Gros

-C'est un peu ça, avec un verre plus épais peut-être et opaque

-Courageux, cet informateur

-Je ne crois pas, non. Enfin... Je ne sais pas. Peut-être

-Il est vrai que vous aimez le noir, n'est ce pas ?

-Rien de spécial

-Alors, maintenant

-Si tu veux

-Trop tard

-Une tête de cochon

-Oui. Si la fille est jolie... Ça me fait un drôle d'effet, de voir une chatte nue...

-Je n'irais pas au Japon. Je rentre chez moi, à Paris

-Ah ! Vous pensez donc que mes repas illustrent cette phrase de Johnson: "Mal tué, mal apprêté, mal cuit et mal servi "

-C'est pour Don Stéfano

-Qu'est ce que tu espères ?

-Qui êtes-vous ?

-Non

-Dis-le plus fort !

-Je vais te faire sauter les bras, puis les genoux, et te laisser là

-Non, pas si elle se ressemble !

-Décidément, tu ne penses qu'à ça...

-Je t'évite? Oh, Phil, tu crois que je n'avais pas eu envie de rester avec toi tout le temps, je t'aurais consacré ne serait-ce qu'une soirée ?  Parfois, je me suis demandé si ça pourrait marcher...

-C'est toujours comme ça au début. Mieux vaut arracher les ceintures. On recommence

-Laisse tomber ton occupation et amène-toi. On a un truc énorme qui vient de nous tomber dessus

-C'est presque fini, une fille, à dix-neuf ans. Elles sont bonnes avant. Moi, je les prends à seize

-Laisse ta main où elle est, pour l'instant ! C'est encore là qu'elle est le mieux !

-Ce soir, je t'aime, oui

-Une fois n'est pas coutume

-Sacrée panthère !

-Un témoin très important a failli être tué ce soir, et un des nôtres y est bel et bien resté

-C'est fini, commissaire

-Quelle artiste !

-Je ne vaux rien comme infirmière

-La presse, Alexander

-Croyez-vous que je vous défendrais si vous aviez perpétré ces actes

-Ouvrez !

-Les vents fantastiques, lutter contre ?

-Je vais te casser les dents

-Seule, elle ne peut rien faire

-Le Délégué Picard-Leserq veut me voir d'urgence

-On trouve

-Oui... Oui, bien sûr. Dès que j'ai terminé ma réunion...

-Si... Je l'ai rencontré dans la rue, il était avec sa nouvelle. C'est tout juste s'il m'a reconnue ! Quel salaud quand même. Enfin... c'est peut-être de ma faute... En tout cas, c'est pas sur lui que je peux compter

-Du moment que tu ne m'appelles pas Lucky !

-Oh ! je sais, Paul. Tu me diras que ce n'est pas de ta faute. Et c'est vrai. A la limite, ce n'est la faute de personne. Ou plutôt, c'est la faute de tout le monde.... de la société permissive, du laxisme général, du je-m'en-foutisme... de l'indifférence...

-On ne sait jamais...

-On... On t'a dit ce que tu.... tu avais à faire ?

-Champagne ou whisky ?

-Oui ! Oh, oui, chéri essayons ! Et ce ne sera  pas comme la première fois, hein ?

-Bien sûr

-Vous le savez bien, que ça me plait... que je suis une vraie pute, moi aussi... comme ma mère... que j'ai ça dans le sang...

-Alex... Oh! Alex...

-Un, en effet

-Alex... Tu baises comme Dieu !

-J'ai su plus tard

-La pureté du cœur est primordiale

-Émile Montgeron. Je m'excuse

-Bon Dieu ! Qu'est-ce que ça veut dire, tout ça !

-Un massacre, patron ! Trois des nôtres grièvement blessés

-Le mot sex ne correspond pas à l'activité principale de ces clubs

-Elle est sauvée, mon vieux

-Non, pourquoi ?